Eurosceptiques et partis d'extrême droite font une poussée dans plusieurs pays, ce qui devrait leur permettre de donner de la voix au Parlement européen.
En Autriche, ce sont ainsi les eurosceptiques d'Hans Peter Martin qui remportent 18 % des voix tandis que les deux partis d'extrême droite FPÖ et BZÖ approchent également des 18 %.
Aux Pays-Bas, le parti islamophobe de Geert Wilders arrive en deuxième position avec 17 % des voix, soit 4 sièges sur les 25 réservés aux Néerlandais.
En Belgique, les indépendantistes flamands d'extrême droite du Vlaams Belang remportent deux sièges contre 3 en 2004, sous leur ancien nom de Vlaams Blok.
Le Parti de la Grande Roumanie (PRM, extrême droite) marque son retour sur la scène européenne. Avec l'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne, en janvier 2007, le PRM avait permis la constitution du groupe d'extrême droite Identité, tradition et souveraineté, dissous en novembre 2007, après le retrait de ses cinq représentants. Cette fois, le président du PRM, Corneliu Vadim Tudor, accusé de xénophobie par ses détracteurs, ainsi que le patron du club de football Steaua Bucarest, Gigi Becali, visé par des enquêtes pour "corruption" et "séquestration de personne" font leur entrée au Parlement.
Au Danemark, le Parti du peuple danois (PPD, extrême droite) gagne deux sièges contre un aux dernières élections et réalise une percée avec 14,8 % des suffrages (8,6 % en 2004).
En Finlande, le parti nationaliste et eurosceptique des Vrais Finlandais réalise un score remarqué. Avec son discours anti-immigrés et anti-Union, il obtient 9,8 % des voix contre 0,5 % en 2004 et rafle ainsi un siège sur les 13 attribués à la Finlande. Le chef de ce parti populiste, Timo Soini, rassemble 130 400 voix, soit plus que tout autre candidat.
En Hongrie, le parti d'extrême droite Jobbik récolte 15 % des voix et trois sièges sur les 22 en jeu dans le pays.
En Slovaquie, les ultranationalistes du SNS, connu pour ses discours xénophobes anti-Hongrois et anti-Roms, obtiennent leur premier siège avec 5,5 % des voix.
En Lituanie, le parti populiste Ordre et Justice obtient 12,55 %, soit deux sièges sur les douze revenant à ce pays balte.
En Italie, la Ligue du Nord, anti-européenne et anti-immigration mais alliée de Silvio Berlusconi, devrait doubler son nombre de députés, de 4 à 8.
Au Royaume-Uni, le Parti national britannique (BNP) d'extrême droite devrait faire son entrée après avoir gagné un siège aux dépens du Labour, le parti travailliste.
(Source= LeMonde )
En Autriche, ce sont ainsi les eurosceptiques d'Hans Peter Martin qui remportent 18 % des voix tandis que les deux partis d'extrême droite FPÖ et BZÖ approchent également des 18 %.
Aux Pays-Bas, le parti islamophobe de Geert Wilders arrive en deuxième position avec 17 % des voix, soit 4 sièges sur les 25 réservés aux Néerlandais.
En Belgique, les indépendantistes flamands d'extrême droite du Vlaams Belang remportent deux sièges contre 3 en 2004, sous leur ancien nom de Vlaams Blok.
Le Parti de la Grande Roumanie (PRM, extrême droite) marque son retour sur la scène européenne. Avec l'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne, en janvier 2007, le PRM avait permis la constitution du groupe d'extrême droite Identité, tradition et souveraineté, dissous en novembre 2007, après le retrait de ses cinq représentants. Cette fois, le président du PRM, Corneliu Vadim Tudor, accusé de xénophobie par ses détracteurs, ainsi que le patron du club de football Steaua Bucarest, Gigi Becali, visé par des enquêtes pour "corruption" et "séquestration de personne" font leur entrée au Parlement.
Au Danemark, le Parti du peuple danois (PPD, extrême droite) gagne deux sièges contre un aux dernières élections et réalise une percée avec 14,8 % des suffrages (8,6 % en 2004).
En Finlande, le parti nationaliste et eurosceptique des Vrais Finlandais réalise un score remarqué. Avec son discours anti-immigrés et anti-Union, il obtient 9,8 % des voix contre 0,5 % en 2004 et rafle ainsi un siège sur les 13 attribués à la Finlande. Le chef de ce parti populiste, Timo Soini, rassemble 130 400 voix, soit plus que tout autre candidat.
En Hongrie, le parti d'extrême droite Jobbik récolte 15 % des voix et trois sièges sur les 22 en jeu dans le pays.
En Slovaquie, les ultranationalistes du SNS, connu pour ses discours xénophobes anti-Hongrois et anti-Roms, obtiennent leur premier siège avec 5,5 % des voix.
En Lituanie, le parti populiste Ordre et Justice obtient 12,55 %, soit deux sièges sur les douze revenant à ce pays balte.
En Italie, la Ligue du Nord, anti-européenne et anti-immigration mais alliée de Silvio Berlusconi, devrait doubler son nombre de députés, de 4 à 8.
Au Royaume-Uni, le Parti national britannique (BNP) d'extrême droite devrait faire son entrée après avoir gagné un siège aux dépens du Labour, le parti travailliste.
(Source= LeMonde )
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