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dimanche 17 janvier 2010

Jospin : “Le FN n’est pas un mouvement fasciste”

Lionel Jospin était hier l’invité d”On n’est pas couché” sur France 2. Extrait :

Extrait du dernier livre de Lionel Jospin, “Lionel raconte Jospin” (Seuil) :

« Je trouve ridicule la manière dont l’ensemble de la gauche, extrême gauche comprise, se rallie bruyamment à Jacques Chirac, sous le prétexte d’une croisade antifasciste. Tout odieux que soit le Front national, il n’y avait pas en France de menace fasciste et la victoire du candidat de droite était absolument certaine, sans onction socialiste. »

vendredi 10 juillet 2009

L’union de la droite, clé du renouveau de la France

par Henry de Lesquen

Une pédagogie des opinions proscrites

Le verrouillage politique qui met le Front national au ban des partis est le fidèle reflet du verrouillage idéologique qui empêche de parler librement de certains sujets vitaux pour l’avenir de notre pays. C’est parce que le F.N. ne se conforme pas aux interdits édictés par les hérauts de l’idéologie dominante qu’il est victime d’ostracisme et exclu de l’“arc constitutionnel”, en tant que parti d’extrême droite.Réciproquement, les idées qui sont défendues par le F.N. se trouvent disqualifiées de ce seul fait. Si le projet de réduire le nombre des immigrés, de maintenir les valeurs traditionnelles ou de renforcer la sécurité est avancé par Le Pen, alors, nous serine-t-on dans les media, c’est bien la preuve que ce sont des idées d’extrême droite, donc fascistes ! L’exclusion-diabolisation du Front national est une pédagogie des opinions proscrites, qui a tout du bourrage de crânes.

Si l’on suppose maintenant l’union de la droite réalisée, le F.N. réintégré dans l’“arc constitutionnel”, alors tout change. Le discours délirant, mais envahissant, d’une gauche crypto-totalitaire apparaît tout d’un coup pour ce qu’il est. Il ne prend plus. Le consensus métapolitique imposé par l’idéologie dominante est ruiné. La France profonde peut se remettre en marche. Elle est à nouveau maîtresse de son destin.
L’union de la droite n’est pas seulement nécessaire pour une simple raison d’arithmétique électorale, mais aussi, et surtout, parce qu’il est au fond inutile d’avoir un gouvernement dit de droite si celui-ci fait la même politique que la gauche. En démocratie, un gouvernement inscrit son action dans le cercle magique qui est tracé par l’idéologie dominante. Il ne pourra réduire ni l’immigration ni l’insécurité ni même réformer l’économie (voyez le fiasco du C.P.E. en 2006) s’il s’est d’avance soumis aux diktats idéologiques de la gauche en refusant le concours de cette partie de la droite qui est la plus déterminée à s’opposer à la gauche.

Affronter le terrorisme intellectuel

On nous dit que le thème de l’union de la droite est une duperie, parce que la droite établie, l’U.M.P., n’est pas une vraie droite. Ce jugement, qui paraît sensé, est en réalité à courte vue, car les électeurs de l’U.M.P., eux, sont incontestablement à droite. Dès lors, l’union de la droite serait la pierre de touche qui leur permettrait de faire le départ, parmi les hommes politiques, entre ceux qui sont réellement de droite, et les autres, qui préféreraient s’allier avec la gauche plutôt qu’avec la droite de la droite. L’alliance à droite obligerait les hommes politiques de la droite établie à sortir de l’ambiguïté, à révéler leurs préférences, et à choisir d’affronter le terrorisme intellectuel de la gauche, donc à prouver leur caractère et à contribuer à l’ébranlement du système de sidération dont les Français sont victimes.
On dit aussi que l’union de la droite est impossible. Il n’est pas facile, admettons-le, d’imaginer un scénario qui y conduirait. Mais, en politique, les choses peuvent changer très vite. Ce qui paraît impossible un jour est évident le lendemain. La campagne de Villiers contre l’islamisation de la France montre que les choses sont en train de bouger, à droite, après les émeutes ethniques de 2005. Ce dont nous avons besoin, aujourd’hui, ce n’est pas tant d’hommes politiques que d’hommes d’Etat, qui mesureront l’enjeu de l’union de la droite et qui décideront de la mettre en œuvre. Ceux-là inscriront leurs noms dans l’histoire comme les artisans du renouveau de la France.

N.B. : une version abrégée de cet éditorial a été publiée dans Monde et Vie le 13 mai 2006.

(Source= Club de l'Horloge )

jeudi 9 juillet 2009

Le fascisme français n’a pas existé


On est comme ça en France : quand on ne se demande pas pourquoi les gauchistes les plus ultra n’ont pas basculé dans le terrorisme après mai 68 comme leurs camarades de lutte ouest-allemands et italiens, on se demande pourquoi la France n’a pas basculé dans le fascisme au milieu des années trente comme les Allemands et les Italiens. Laissons de côté pour l’instant la première partie de la question et attachons nous à la seconde. Un article de l’historien Michel Winock nous y invite dans la revue Vingtième siècle (No 90, avril-juin 2006, 18,50 euros, Presses de Science Po). Sous le titre "Retour sur le fascisme français", il aborde le problème sous l’angle particulier du "cas La Rocque", du nom du colonel François de La Rocque, qui fut entre les deux guerres le chef charismatique des Croix-de-Feu, ligue d’anciens combattants devenue à partir de juillet 1936 le Parti Social Français (PSF).

Il faut dire que ces derniers temps, plusieurs livres ont paru, tant en anglais qu’en français, pour regrouper certains historiens (Michel Winock, Jacques Julliard, Philippe Burrin, Serge Berstein, Pierre Milza notamment) au sein d’une improbable "école du consensus", tous défenseurs de ladite "thèse immunitaire" en vertu de laquelle, selon les résultats de leurs recherches, la France des années 30 aurait été immunisé contre le fascisme. C’est évidemment plus compliqué que cela ; leur analyse est certainement plus fine, d’autant qu’elle se situe dans la ligne de l’article pionnier de Raoul Girardet de 1955 qui parlait plutôt d’"imprégnation fasciste". Le fait est que malgré les tentations et les contagions, la France de l’époque est restée une république parlementaire. Pour autoritaires qu’elles fussent, les droites nationalistes n’en demeuraient pas moins pacifistes, éloignée de toute idée de revanche et de conquête. Si elles étaient immunisées contre le fascisme, ce n’était pas en raison de leur nature mais de la conjoncture, soutient Winock. Il tient que rien ne vaut l’étude du cas Croix-de-Feu/PSF pour tester et évaluer la pénétration du fascisme dans cette France là. Dire cette ligue, ce parti, cette mouvances "fascistes" est un lieu commun qui a la vie dure, même si la jurisprudence des tribunaux l’interdit désormais, grâce à la vigilance de Gilles de La Rocque, fils du colonel.

Croixdefeu_2Sur quoi repose cette légende si pratique et si confortable ? Avant tout sur les apparences. Au début des années 30, les Croix-de-Feu sont à droite les seuls en mesure d’aligner un service d’ordre organisé militairement, et à tenir la rue le cas échéant ; ils sont bien plus nombreux et puissants que les "Camelots du roi" de l’Action française, mais leurs "dispos" (pour "disponibles") demeurent dans le légalisme voulu par leur chef. Ils n’ont pas, il s’en faut, la dimension violente et criminelle des squadre mussoliniens et des SA hitlériens. Ils restent un service d’ordre en tenue civile, destiné aux meetings et manifestations, et non une milice factieuse. La démonstration en est faite dans la nuit du 6 février 1934 place de la Concorde où ils refusent de pousser leur avantage au seuil du Palais Bourbon.

François de La Rocque était un nationaliste, catholique social, partisan d’un régime conservateur, autoritaire et républicain. Il était anticommuniste, antimaçon, antiparlementaire au sens où il voulait non supprimer les Chambres mais atténuer le pouvoir du législatif par rapport à celui de l’exécutif. Nul projet expansionniste dans le programme de son parti, nulle dimension révolutionnaire dans son mouvement, nulle volonté de créer un homme nouveau, comme ce fut le cas alors des régimes totalitaires, et du côté de Jacques Doriot et de son PPF. La Rocque n’en a pas moins durablement incarné un mythique "fascisme à la française" en raison de l’effet de puissance des Croix-de-Feu et du PSF, comme le montre bien Michel Winock dans son article, en insistant sur ses influences : outre le catholicisme social, un vieux fond bonapartiste allié à à un jacobinisme à la Clemenceau. Loin des dieux tutélaires de l’axe Rome-Berlin. L’Occupation fut l’heure de vérité de la droite française. Rallié à Pétain en 1940, partisan de la Révolution Nationale du moins à ses débuts, le maréchaliste en lui est vite déçu. Créateur et chef d’un réseau de résistance (Klan) en juin 1942, quelques mois avant la dissolution de son PSF par le chef de la Sûreté et des SS en France, il est arrêté par la Gestapo en 1943 puis emprisonné en Allemagne. De ses recherches en archives, de la lecture des travaux les plus récents et de la consultation des témoignages, Michel Winock conclue que "le fascisme français n’a pas existé" (le cas de Vichy est à part puisqu’il n’a été possible que sous une occupation étrangère) et que les Croix-de-Feu et le PSF ne pouvaient être assimilés à un parti fasciste "si ce n’est au prix d’un défaut de rigueur sémantique". Une mise au point rigoureuse et argumentée dont on peut prédire qu’elle ne va pas clore le débat mais, au contraire, probablement le relancer chez certains historiens.

(Source= Le Monde )

mardi 7 juillet 2009

Hénin-Beaumont : le théâtre antifasciste devient grotesque

Le spectacle que nous ont joué les hommes politiques du Système et les médias entre les deux tours de l’élection muninicipale d’Hénin-Beaumont a quelque chose de lassant.
Vraiment ça suffit. Arrêtez votre petit numéro, ça en devient franchement ridicule. Contrairement à ce que vous tentez de faire croire aux Français pour les forcer à toujours rester dans les clous UMPS-MODEM, il n’y a aucune "menace fasciste" en France. Pas plus qu’il n’y a dans notre pays de résurgence de je-ne-sais quelle "bête immonde", qui sortirait des années 30 pour installer le fascisme et la dictature en France.
En 2007, Lionel Jospin reconnaissait que "tout antifascime n’était que du théâtre". Il est regrettable que les nouvelles générations d’hommes politiques n’aient pas rompu avec ces mises en scène grotesques. Xavier Bertrand, Benoît Hamon et ce pauvre Henri Guaino croient-ils eux-mêmes à ce qu’ils disent pour effrayer l’électeur ?

Est-il possible d’avoir un combat loyal et simplement démocratique en France ? Les médias le permettent-ils encore ? C’est à se demander.

Dès qu’un candidat ayant une chance de l’emporter dévie de la ligne officielle, en osant bousculer ces dogmes que sont le libre-échange, l’Europe de Bruxelles et le libéralisme mondialisé, il est en effet diabolisé.
Qu’il soit issu du Front national ou d’un autre parti, la même mécanique se met systématiquement en place, ce qui fait de notre pays une triste exception antidémocratique.

A chaque fois, les médias se mettent au diapason, on convoque les arguments d’autorité, la peur, les manifestations orchestrées par les mêmes associations (que SOS Racisme s’occupe de ses magouilles internes avant de venir donner des leçons au monde entier), le show-biz et le mensonge.
Pourquoi ? Pourquoi cette crainte du débat ? Pourquoi cette volonté de tout cadenasser, d’empêcher les électeurs de sortir du Système ?

Quand ces professionnels du Système nous jouent leur comédie, et osent salir la République en se constituant en "front républicain", respectent-ils la démocratie ? Nous ne le pensons pas. En réalité, ils bafouent le suffrage universel, et usent de méthodes qui ne sont ni républicaines ni démocratiques. Comme ils le firent déjà en 2005 contre le camp du NON à la Constitution européenne, ils pensent d’abord à diaboliser l’adversaire et à faire peur avant de défendre leurs propres arguments et leurs convictions.

La France a besoin d’une démocratie adulte. Celle-ci suppose de rompre avec ces méthodes qui sont une insulte à l’intelligence collective. Acceptons simplement le débat, libre et serein. Alors les Français en conscience feront leur choix.

Toute autre attitude doit être dénoncée haut et fort comme un geste de mépris pour l’électeur, et une manipulation pas digne de la République et de la France.

(Source= Agoravox )

samedi 4 juillet 2009

Dany, viens vivre chez les Ch’tis !

L'alliance gauche droite et des CLOWNS !!!

L'acteur Dany Boon a dans un comuniqué appelé a faire barrage au Front National pour l'élection municipale de Hénin-Beaumont.

Dany Boon

Dans ce communiqué l'acteur déclare qu'une élection d'un maire Front National serait l'opposé des valeurs du Nord Pas-de-Calais:

"Le Front National véhicule des idées à l’opposé de notre identité régionale. Le Nord Pas-de-Calais a toujours été une terre d’accueil, de tolérance, de respect de l’autre et de ses différences"

L'humoriste appelle les habitants de Hénin-Beaumont, malgré tous leurs ressentiments, a ne pas voter pour le Front National.

La liste du FN est arrivée en tête au premier tour avec plus de 39% des voix.

Steeve Briois a publié une réaction sur son blog...
"Steeve Briois, conseiller municipal d’Hénin-Beaumont, invite Dany Boon à quitter Los Angeles pour venir s’installer et vivre à Hénin-Beaumont, chez les Ch’tis, à y payer des impôts locaux avant de s’immiscer dans une situation locale qu’il ne connaît pas."
(Sources: Lefigaro.fr, Le Blog de Steeve Briois)

lundi 8 juin 2009

L'extrême droite et les eurosceptiques gagnent du terrain

Eurosceptiques et partis d'extrême droite font une poussée dans plusieurs pays, ce qui devrait leur permettre de donner de la voix au Parlement européen.

En Autriche, ce sont ainsi les eurosceptiques d'Hans Peter Martin qui remportent 18 % des voix tandis que les deux partis d'extrême droite FPÖ et BZÖ approchent également des 18 %.

Aux Pays-Bas, le parti islamophobe de Geert Wilders arrive en deuxième position avec 17 % des voix, soit 4 sièges sur les 25 réservés aux Néerlandais.

En Belgique, les indépendantistes flamands d'extrême droite du Vlaams Belang remportent deux sièges contre 3 en 2004, sous leur ancien nom de Vlaams Blok.

Le Parti de la Grande Roumanie (PRM, extrême droite) marque son retour sur la scène européenne. Avec l'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne, en janvier 2007, le PRM avait permis la constitution du groupe d'extrême droite Identité, tradition et souveraineté, dissous en novembre 2007, après le retrait de ses cinq représentants. Cette fois, le président du PRM, Corneliu Vadim Tudor, accusé de xénophobie par ses détracteurs, ainsi que le patron du club de football Steaua Bucarest, Gigi Becali, visé par des enquêtes pour "corruption" et "séquestration de personne" font leur entrée au Parlement.

Au Danemark, le Parti du peuple danois (PPD, extrême droite) gagne deux sièges contre un aux dernières élections et réalise une percée avec 14,8 % des suffrages (8,6 % en 2004).

En Finlande, le parti nationaliste et eurosceptique des Vrais Finlandais réalise un score remarqué. Avec son discours anti-immigrés et anti-Union, il obtient 9,8 % des voix contre 0,5 % en 2004 et rafle ainsi un siège sur les 13 attribués à la Finlande. Le chef de ce parti populiste, Timo Soini, rassemble 130 400 voix, soit plus que tout autre candidat.

En Hongrie, le parti d'extrême droite Jobbik récolte 15 % des voix et trois sièges sur les 22 en jeu dans le pays.

En Slovaquie, les ultranationalistes du SNS, connu pour ses discours xénophobes anti-Hongrois et anti-Roms, obtiennent leur premier siège avec 5,5 % des voix.

En Lituanie, le parti populiste Ordre et Justice obtient 12,55 %, soit deux sièges sur les douze revenant à ce pays balte.

En Italie, la Ligue du Nord, anti-européenne et anti-immigration mais alliée de Silvio Berlusconi, devrait doubler son nombre de députés, de 4 à 8.

Au Royaume-Uni, le Parti national britannique (BNP) d'extrême droite devrait faire son entrée après avoir gagné un siège aux dépens du Labour, le parti travailliste.

(Source= LeMonde )

dimanche 7 juin 2009

De Villiers : "le lanceur de pavés héros de la société française"

« Ce soir, je suis triste, la percée de Cohn-Bendit, 41 ans après Mai-68, le lanceur de pavés qui redevient un héros de la société française, moi ça me gêne profondément ».

C’est Philippe de Villiers, le candidat de la liste « Libertas » qui a fait cette déclaration, ce soir sur TF1.

Le député de Vendée a ajouté :

« La société Cohn-Bendit, elle est sous nos yeux ».

(Source= Ouest France )
 
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