« On ne peut pas aller aux Maldives en pédalo… » a même ironisé la candidate dite « écologiste ». Certes, mais on n’est peut-être pas obligé de partir à l’autre bout du monde pour ses vacances, surtout dans un contexte qu’on nous présente «comme « pré-apocalyptique » et où chacun « doit faire des efforts » pour préserver l’environnement.
Les électeurs seront donc heureux de constater que les « efforts » de Madame Duflot ne vont donc pas jusqu’à limiter ses vacances de Noël à des destinations françaises ou européennes permettant l’utilisation de moyens de transports moins polluants, tels que le train.
« Les écologistes n’ont jamais dit qu’on ne devait plus voyager ! » a cru bon d’ajouter la candidate verte.
On pensait pourtant que ceux-ci encourageaient au contrôle de son impact écologique, au sens de la mesure et souhaitait que l’on privilégie la proximité et le localisme.
Mais il est vrai que le « faites ce que je dis, pas ce que je fais » reste la principale antienne du discours politique contemporain.
(Source=Novopress)
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