Harcèlement contre les homosexuels, injures contre les filles un peu trop libres… L’école est le lieu privilégié d’une violence ordinaire où le monde n’est perçu que comme un affrontement entre dominants et dominés.
«Une fille qui est violée, c’est forcément une Française. Chez nous, ça n’arrive pas.» C’est la remarque ordinaire d’un collégien de Seine-Saint-Denis devant son professeur d’histoire. Une remarque qui raconte l’état d’esprit d’une part de la jeunesse française.
(Source=LeFigaro)«Une fille qui est violée, c’est forcément une Française. Chez nous, ça n’arrive pas.» C’est la remarque ordinaire d’un collégien de Seine-Saint-Denis devant son professeur d’histoire. Une remarque qui raconte l’état d’esprit d’une part de la jeunesse française.
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