Nombre de ces propriétés font vivre plusieurs sociétés, spécialement dans les communes rurales.
L’effet de la crise économique conjugé à la réduction des appuis des collectivités locales met en péril de nombreux châteaux et manoirs.
« Parmi les plus emblématiques, ces propriétés seraient, au nombre de 600 environ. Sans ces appuis et si le désengagement financier se poursuivait, c’est l’allure de ces châteaux qui en sera affectée. «Ils tomberont en ruine et partiront entre les mains d’acquéreurs étrangers», lance un propriétaire. »« Les conséquences de cette mauvaise passe sont diverses : «Certains aujourd’hui se demandent s’ils ne vont pas devoir renoncer à leur château. D’autres plus nombreux et à court d’argent, ont dû interrompre des chantiers et même renoncer aux subventions. Ils ne pouvaient plus rassembler les fonds nécessaires.» Un gel forcé de la restauration qui met à mal la vieille pierre et porte un coup dur à l’économie locale. »
(SOURCE=leFigaro)
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